Dans un article récent, intitulé Why Proxy advisers are losing their power, The Economist jette un regard critique sur l’influence des sociétés de conseil en vote par procurations. Tout en soulignant des forces qui allaient progressivement contribuer à les marginaliser, l’article considère que les conflits dans les assemblées générales annuelles sont appelés à s’intensifier.
Dans le cadre de ces conflits, The Economist ne voit pas d’un bon oeil le rôle des sociétés de conseil:
Asking two opaque firms, supposedly in the name of transparency, in effect to nominate America Inc’s boards of directors was dubious enough. Trusting them to resolve the complex trade-offs at the heart of 21st-century capitalism would be a travesty.
The Economist
Reste à voir quel instrument prendra le relais pour soutenir les investisseurs institutionnels – ou quel encadrement.
Gouvernance et droit des valeurs mobilières 